Tandis
que la dresseuse nous donne un cours d’anatomie sur les dauphins je profite de
caresser Zak. On nous explique un peu où se
trouvent leurs minuscules oreilles, comment ils
arrivent à sortir des sons par le
nez. Ce qui me fascine est cette complicité entre la dresseuse et Zak. Au coupde sifflet assez strident ou encore aux signaux des mains le dauphin réagit à une
vitesse foudroyante. Il est capable de tourner,
frapper avec ses nageoires, se laisser attraper, partir et revenir aussi vite
qu’elle lui demande.
Le
plus fort à été d’enrouler mes jambes autour de lui tout en agrippant ses
nageoires. On tournait sur nous mêmes comme
si de rien n'était. On entendait mes cris de
joie partout autour de nous, j’étais au maximum côté
émotions. L’ homme trentenaire que je suis, était
redevenu un petit garçon. Les cent
euros que j’ai investis étaient sans regret
pour cette aventure que j’attendais depuis si longtemps.
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